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L'Œuvre d'Orient au côté des chrétiens arméniens

En 1856, l’Œuvre d’Orient donnait déjà 4000 francs au patriarche arménien pour les pauvres de sa nation… Fin 1895, le Père Charmetant, son directeur, dénonçait le massacre des chrétiens arméniens et alertait l’opinion publique. Depuis elle entretient des relations privilégiées avec le peuple arménien.

Une relation historique avec les Arméniens en exil

En 1895, l’Arménie est noyée dans le sang. Le Père Charmetant s’indigne devant une véritable conspiration du silence et réussit à alerter l’opinion publique. Il convainc les donateurs de l’Œuvre qu’il est urgent d’aider les réfugiés dans tout le Moyen-Orient. Ce soutien se poursuit encore aujourd’hui au Liban, en Syrie, en Égypte, en Irak et en Iran.

Les Sœurs arméniennes de l’Immaculée Conception et les Pères mekhitaristes animent écoles, orphelinats et dispensaires.

En Arménie, priorité aux jeunes

Depuis la fin de l’ex-URSS, l’Œuvre d’Orient accompagne la renaissance de l’Église arménienne catholique, en Arménie et en Géorgie.

Dans ces pays parmi les plus pauvres d’Europe orientale, prêtres et religieuses se mobilisent pour encourager la jeunesse à rester. Les instruire, leur donner un métier, les ouvrir au monde, les faire grandir sur le plan spirituel, moral et culturel, telles sont les missions qu’ils se sont fixées.

« Nous sommes là pour les plus pauvres. Pas question de laisser un enfant dehors parce que les parents ne peuvent payer » Sr Yolande, école Notre Dame du Lys, Alep