DATE : Vendredi 16 mars à 20h
LIEU : Chapelle Saint-Jean, Place de l’Église, 38380 Saint-Laurent-du-Pont
CONTACT : L’Œuvre d’Orient — 01 45 48 95 00 — www.oeuvre-orient.fr
DATE : Vendredi 16 mars à 20h
LIEU : Chapelle Saint-Jean, Place de l’Église, 38380 Saint-Laurent-du-Pont
CONTACT : L’Œuvre d’Orient — 01 45 48 95 00 — www.oeuvre-orient.fr
DATE : Vendredi 23 mars à 20h
LIEU : Salle des Gentianes, Place Francisque Viard, 73360 Les Échelles
CONTACT : L’Œuvre d’Orient — 01 45 48 95 00 — www.oeuvre-orient.fr
Entretien réalisé par Olivier Bonnel – Cité du Vatican
Une table ronde était organisée ce lundi 5 mars à Paris au temple des Batignolles, rassemblant le pasteur François Clavairoly, président de la fédération protestante de France, le grand rabbin de France Haïm Korsia, Mgr Pierre d’Ornellas archevêque de Rennes et le métropolite Emmanuel, qui préside l’assemblée des évêques orthodoxes de France.
Parmi les jalons qui ont marqué l’histoire du rapprochement entre juifs et chrétiens français, la conférence organisée à Seelisberg en Suisse, en août 1947. Pour la première fois, juifs, protestants et catholiques se réunissent pour mettre en lumière les racines de l’antisémitisme chrétien. Cette conférence débouchera sur dix points historiques, le premier étant qu’il «s’agit du même Dieu vivant qui nous parle à tous, dans l’Ancien comme dans le Nouveau Testament».
L’AJCF est aujourd’hui une fédération d’associations qui n’a pas attendu le Concile Vatican II pour œuvrer au dialogue. Le Concile qui a néanmoins été un élément déterminant du rapprochement entre juifs et chrétiens comme nous le rappelle le père Louis-Marie Coudray, directeur du Service national des relations avec le judaïsme au sein de la conférence des évêques de France.
Source : Vatican News
Le poste de Volontariat de solidarité internationale (VSI) consiste à coordonner et développer la radio Al-Salam, radio mutli-confessionnelle basée à Erbil et émettant à l’intention des réfugiés, déplacés et minorités du nord de l’Irak. Dans le même temps, le VSI relaye des informations de terrain et produit du matériel de communication pour les bailleurs de la radio. La Radio Al-Salam est un programme de La Guilde Européenne du Raid.
Ville : Erbil
Langues parlées : français, Anglais, arabe au moins oral, le kurde serait un plus.
Fonctions : Coordination, Gestion de projet, Encadrement, Direction
Activités : Autre
Pays : Moyen Orient, Irak
Contrat : Volontariat / service civique
Durée du contrat : Engagement d’un an, à partir du 30 avril 2018, renouvelable un an.
Salaire / Indemnité : VSI, contrat avec La Guilde, avec indemnité mensuelle de 1 500 € + cotisation retraite + sécurité sociale + prise en charge loyer à Erbil et trois allers-retours du domicile au lieu de travail. Conditions de sécurité stables à Erbil, respect des règles préconisées par le Ministère des affaires étrangères. Climat sec et très continental, particulièrement chaud l’été.
Documents à envoyer : Pour postuler, envoyer CV et lettre de motivation en français.
Nom de la personne contact : Envoyer votre candidature à Olivier MOUZAY, Direction des programmes de La Guilde.
Email de la personne contact : olivier.mouzay@la-guilde.org
Date de fin de validité : 30/03/2018
« Douze personnes seulement sont venues vendredi soir au Chemin de la Croix au lieu de 600 personnes. Ces douze courageux fidèles ont défié les obus et le danger de mort pour venir méditer les 14 stations du calvaire s’arrêtant surtout devant la cinquième et la huitième station.
Devant la cinquième Station, ce petit groupe de fidèles s’interrogent sur l’absence d’un Simon de Cyrène qui tend la main pour consoler, aider et soulager leurs souffrances et soigner leurs plaies, mais ils voient se défiler des forces militaires et des contingents de tout bord bien armés qui se bousculent pour alimenter la guerre et accentuer la violence, la destruction et la mort sous prétexte de sauver le pays.
A la huitième station : Jésus console les filles de Jérusalem et les familles syriennes endeuillées, sinistrées, blessées, réfugiées et leurs nombreux orphelins abandonnés et oubliés.
Cette consolation du Seigneur essuie leurs larmes et renforce la Foi de ce peuple martyrisé et déboussolé qui regarde la lumière de la Résurrection dans le visage saignant de Jésus Christ.
Merci à nos 12 courageux apôtres de montrer le Chemin de L’Espérance au milieu des ténèbres. »
Mgr Samir Nassar, archevêque maronite de Damas
La visite sera commentée par un guide qui expliquera l’histoire de la communauté russe en France et l’histoire de L’Orthodoxie russe à Paris, ainsi que les icônes qui se trouvent dans la Cathédrale…
Elle prévoit également d’accéder aux expositions éphémères présentées dans le centre spirituel et culturel qui jouxte la Cathédrale.
Information importante :
La contribution de 5️ euros en espèces est obligatoire pour la visite privée ! Il n’y a pas d’inscription préalable.
Merci de prévoir l’appoint car nous ne pourrons pas rendre la monnaie ! Pour ceux qui auront oublié cette participation, l’entrée leur sera malheureusement refusée.
La durée de la visite est de 1h-1h30.
DATE : Samedi 3 mars, à 14h45 précise
LIEU : Cathédrale russe orthodoxe de la Sainte-Trinité, 1 Quai Branly Paris 7ème
Le troisième jour de fermeture, nous avons demandé aux frères franciscains du Saint-Sépulcre de témoigner et de nous assurer que la vie à l’intérieure n’avait pas changé. Voici ce que le président de la Fraternité franciscaine et le sacristain nous ont dit.
« Même si nous ne pouvons pas sortir, notre quotidien est le même – explique au téléphone, P. Zacheusz Drazek, Président de la fraternité franciscaine du Saint-Sépulcre –. Nous sommes dix frères et nous prions pour tous les pèlerins ». Le frère, d’origine polonaise, qui est Président depuis presque deux ans, raconte qu’ils communiquent avec le monde extérieur par la petite fenêtre située sur la grande porte d’entrée, d’où ils reçoivent les intentions de prières et des dons. « Nous entretenons de très bonnes relations avec les autres communautés orthodoxes et arméniennes, et il y a une tranquillité et un silence tout particuliers – affirme P. Zacheusz –. Ce qui change ces jours-ci, c’est que la cuisinière ne pouvant entrer, c’est nous, les frères, qui faisons à manger. » Malgré le regret de ne pas pouvoir accueillir les pèlerins, le Président de la fraternité franciscaine du Saint-Sépulcre explique que, en ce troisième jour de fermeture, il y a une vraie sérénité parmi les frères.
« La vie au Sépulcre ne change pas, même si les portes sont closes – soutient aussi le sacristain franciscain Fr. Sinisa Srebrenovic –. Nous savons que les pèlerins qui restent dehors n’arrivent pas toujours à comprendre la situation. Nous avons reçu un grand soutien du monde entier, et les guides locaux aussi, que je connais, nous ont assuré qu’ils expliqueraient ce qui est en train de se passer ». Fr. Sinisa poursuit : « Aujourd’hui c’est impressionnant de voir la basilique vide, mais nous continuons une vie normale ». Après minuit, les grecs-orthodoxes commencent leur liturgie au Sépulcre, puis il y a les arméniens, ensuite les messes des franciscains commencent, soit au Calvaire, soit dans le tombeau de Jésus. « Même s’il n’y a personne, nous chantons la messe avec l’orgue, notre vie du matin se déroule comme d’habitude – raconte encore le sacristain du Saint Sépulcre –. Ensuite, dans l’après-midi, nous faisons la procession quotidienne en parcourant toute la Basilique ». Pour le frère, d’origine croate, entendre depuis l’intérieur les pèlerins qui chantent dehors, sur la place, c’est un signe : « C’est un signe car ceux qui viennent en pèlerinage ont comme but le Sépulcre de Jésus et trouvent la porte close. Mais ils trouvent l’espérance de prier devant cette porte fermée ».
Fr. Sinisa rappelle que, dans l’histoire de la présence franciscaine, il y a eu d’autres moments de fermeture du Sépulcre : par exemple, au temps où l’empire ottoman contrôlait l’entrée des pèlerins. Le contrôle des entrées était l’un des motifs pour lesquels un gardien musulman avait les clefs.
« Dans le passé, il est arrivé plusieurs fois que les frères restent enfermés au Sépulcre pendant des semaines, mais ils ont toujours mené leur vie normale – continue le frère –. Nous sommes ici au nom de l’Église, assurant qu’il y ait une prière constante en ce lieu saint ». Ces jours-ci les relations entre les communautés sont très bonnes, comme c’est le cas depuis déjà un certain temps. « Nous avons géré cette situation avec les frères des autres communautés, à partir du moment où nous avons dû faire sortir les personnes pour la fermeture de la porte ».
La fraternité franciscaine du Saint-Sépulcre est unie dans la prière pour les pèlerins. « Nous demandons que le Seigneur les illumine afin qu’ils comprennent cette situation – affirme Fr. Sinisa –. Ce n’est pas une situation facile. Nous ne sommes pas ici pour faire de la politique, mais pour protéger la présence chrétienne. Cela fait 800 ans que les frères vivent en Terre Sainte et notre but a toujours été celui-ci ».
Beatrice Guarrera
Source : Custodia Terrae Sanctae
La conférence présentera les églises byzantines en Palestine du IVe au VIIIe siècle à travers l’interaction entre l’architecture et la liturgie. Cette interaction est possible grâce à l’état de conservation des monuments, aux progrès considérables effectués par la recherche archéologique et la connaissance des textes sacrés et hagiographiques.
Entrée gratuite
DATE : Vendredi 9 mars de 18h à 19h30
LIEU : Maison diocésaine (salle Chaume, rez-de-chaussée), 9 bis boulevard Voltaire, 21000 Dijon
CONTACT : L’Œuvre d’Orient — 01 45 48 95 00 — www.oeuvre-orient.fr
Déclaration signée par les chefs des Eglises
» Nous, chefs des Églises responsables du Saint-Sépulcre et du status quo qui gouverne les différents lieux saints chrétiens à Jérusalem – le patriarcat grec-orthodoxe, la custodie de Terre Sainte et le patriarcat arménien – suivons avec grande préoccupation la campagne systématique contre les Églises et les communautés chrétiennes en Terre Sainte, en flagrante violation du status quo en vigueur.
Récemment, cette campagne systématique et offensive a atteint des niveaux sans précédent quand la municipalité de Jérusalem a émis des notifications scandaleuses de recouvrement et des injonctions de confiscation de biens, propriétés et comptes bancaires des Églises pour de prétendues dettes de taxes municipales punitives. Une mesure qui est contraire à la position historique des Églises au sein de la ville sainte de Jérusalem et à leurs relations avec les autorités civiles.
Ces actions enfreignent les accords existants et les obligations internationales qui garantissent les droits et les privilèges des Églises, dans ce qui apparaît comme une tentative d’affaiblir la présence chrétienne à Jérusalem. Les principales victimes de tout cela sont les familles pauvres qui seront privées de nourriture et de logement, outre les enfants qui ne pourront pas fréquenter l’école.
La campagne systématique d’abus contre les Églises et les chrétiens atteint maintenant son sommet à partir du moment où l’on promeut une loi discriminatoire et raciste qui prend pour cible uniquement les propriétés de la communauté chrétienne en Terre Sainte. Cette loi aberrante sera examinée aujourd’hui (25 février) par une commission ministérielle et, si elle est approuvée, rendrait possible l’expropriation des Églises de leurs terres. Tout ceci nous rappelle les lois de nature analogue qui furent promulguées contre les juifs en Europe dans les périodes sombres.
Cette attaque systématique et sans précédent contre les chrétiens en Terre Sainte viole gravement les droits souverains les plus fondamentaux et « ab antiquo », piétinant la délicate trame de relations de plusieurs décennies entre la communauté chrétienne et les autorités. C’est pourquoi, rappelant la Déclaration des patriarches et des chefs des Églises locales à Jérusalem du 14 février 2018, et leur déclaration préalable de septembre 2017, en mesure de protestation, nous avons décidé d’effectuer le pas sans précédent de fermer l’Église du Saint-Sépulcre.
Avec tous les chefs des Églises en Terre Sainte, nous restons unis, fermes et résolus à protéger nos droits et nos propriétés. Puisse l’Esprit-Saint écouter nos prières et offrir une solution à cette crise historique dans notre ville sainte. »
Traduction de Zenit, Hélène Ginabat
Source : Agence Zenit